Publié le 18 mars 2024

En résumé :

  • Adoptez une nouvelle technique de respiration directe et progressive pour éviter de tousser.
  • Divisez votre taux de nicotine par quatre (ex: de 12mg à 3mg) pour compenser le volume de vapeur.
  • Utilisez des e-liquides à haute teneur en Glycérine Végétale (70% VG ou plus) pour créer des nuages denses.
  • Anticipez un budget e-liquide plus élevé en raison de la consommation et des taxes d’accise canadiennes.
  • Maîtrisez la corrélation entre l’ouverture de l’airflow et la puissance en watts pour un équilibre parfait.

Vous admirez ces nuages de vapeur denses et volumineux, mais chaque tentative pour les imiter se solde par une quinte de toux et une sensation de « trop-plein » ? Vous êtes un vapoteur intermédiaire, à l’aise avec votre tirage serré (MTL, « Mouth-to-Lung »), mais le passage à la vape « aérienne » en inhalation directe (DL, « Direct-Lung ») vous semble être une montagne infranchissable. C’est une frustration commune : on change de matériel, on ouvre l’airflow à fond, et le résultat est désagréable, voire écœurant.

Beaucoup pensent qu’il suffit d’acheter un atomiseur sub-ohm et de baisser la nicotine. Si c’est une partie de l’équation, cette approche ignore l’essentiel. La transition vers le DL n’est pas qu’une question de matériel, c’est l’apprentissage d’un tout nouveau système respiratoire de vape. C’est une discipline technique où chaque paramètre compte. Mais si la véritable clé n’était pas seulement de changer vos habitudes, mais de comprendre la physique et la physiologie qui se cachent derrière un nuage parfait ?

Cet article n’est pas une simple liste d’astuces. C’est votre carnet d’instructeur. Nous allons décomposer la science du « cloud chasing » pour que vous puissiez piloter votre transition, et non la subir. Nous aborderons la technique respiratoire, le calcul de votre nouveau besoin en nicotine, la science des e-liquides, l’impact sur votre budget au Canada, et surtout, l’étiquette sociale qui accompagne cette pratique. Préparez-vous à maîtriser la puissance, pas seulement à l’inhaler.

Pour vous guider dans cette transition technique, nous avons structuré ce guide en plusieurs étapes clés. Chaque section aborde un aspect fondamental de la vape en inhalation directe, vous donnant les commandes pour une expérience réussie et contrôlée.

Pourquoi faut-il aspirer directement dans les poumons sans stocker en bouche ?

La première barrière à l’entrée de la vape DL est purement mécanique : la toux. Elle survient car vous essayez d’appliquer votre réflexe MTL (bouche puis poumons) à un volume de vapeur dix fois supérieur. C’est comme essayer de boire un litre d’eau avec une paille en une seule gorgée. La technique DL est plus proche d’une respiration profonde et calme que d’une aspiration. Il faut rééduquer votre corps à accepter un flux d’air massif et tiède directement dans les poumons.

L’erreur est de croire que la force de l’aspiration crée le nuage. En réalité, c’est le volume d’air qui traverse la résistance chaude qui est le vrai moteur. Comme l’explique le guide de la boutique canadienne Dragon Vape, il faut prendre une longue et douce inspiration directement dans les poumons, comme si vous preniez une bouffée d’air frais. Forcer le tirage ne fait que créer des turbulences et augmente la sensation d’irritation. Le secret est la fluidité. Vous n’aspirez pas la vapeur, vous respirez à travers votre appareil. C’est un changement de paradigme complet qui demande un peu de pratique pour devenir naturel et confortable.

Pour dompter ce nouveau geste sans vous décourager, une approche progressive est indispensable. Il ne s’agit pas de réussir du premier coup, mais de conditionner vos poumons. Commencez avec une puissance modérée et un airflow à moitié ouvert, puis suivez une méthode structurée pour vous acclimater en douceur. Votre corps s’habituera progressivement à ce nouveau volume d’air et de vapeur, et le réflexe de toux disparaîtra.

L’erreur de garder du 12mg en DL qui rend la vape invivable

Le deuxième obstacle, souvent le plus violent, est le surdosage de nicotine. Si vous vapotez en MTL à 12 mg/ml, tenter la même chose en DL est la garantie d’un « hit » (contraction du larynx) insupportable, de vertiges et de nausées. Pourquoi ? Car le rendement nicotinique n’a rien à voir. En DL, vous vaporisez une quantité de liquide beaucoup plus importante à chaque bouffée. Une inhalation de 3 secondes en DL peut vaporiser 0,1 ml de liquide, contre 0,01 ml en MTL. Avec du 12 mg/ml, vous absorbez donc d’un coup 1,2 mg de nicotine, l’équivalent de ce que vous absorbiez en 10 bouffées serrées.

La règle d’or est simple : si vous passez en DL, divisez votre taux de nicotine par 3 ou 4. Un vapoteur à 12 mg doit viser le 3 mg. Un vapoteur à 6 mg doit passer à 1,5 mg ou 3 mg. Cela peut sembler très bas, mais votre apport quotidien en nicotine restera similaire, voire supérieur, car vous consommerez beaucoup plus de liquide. Il est crucial de noter qu’au Canada, la réglementation est stricte : le taux de nicotine ne peut dépasser la limite de 20 mg/ml maximum autorisé au Canada, mais pour le DL, même ce taux est infiniment trop élevé.

Cette logique est confirmée par les experts du secteur, comme le souligne l’équipe de Dragon Vape Canada :

Direct Lung vapers use very low levels of nicotine which can be 0.6%, 0.3% or even as low as 0%.

– Dragon Vape Canada, VAPE FAQ – Mouth To Lung VS Direct Vapor

Le tableau suivant illustre bien comment l’apport en nicotine peut être maintenu, voire augmenté, malgré un taux de nicotine beaucoup plus faible, en raison de l’augmentation drastique de la consommation de e-liquide.

Dosages de nicotine recommandés selon le style de vape
Style de vape Dosage nicotine Consommation liquide Apport nicotine/jour
MTL 12-18 mg/ml 3 ml/jour 36-54 mg
DL débutant 3-6 mg/ml 12 ml/jour 36-72 mg
DL expérimenté 0-3 mg/ml 15+ ml/jour 0-45 mg

Pourquoi la Glycérine Végétale est-elle le moteur des gros nuages ?

Maintenant que la technique et la nicotine sont ajustées, intéressons-nous au carburant : le e-liquide. Pour obtenir des nuages denses et persistants, un ingrédient est roi : la Glycérine Végétale (VG). Alors que le Propylène Glycol (PG) est un excellent exhausteur de goût et procure le « hit », la VG est le véritable moteur à vapeur. Un liquide typique pour le MTL est souvent en 50/50 PG/VG. Pour le DL, il faut inverser ce ratio et privilégier des liquides avec au moins 70% de VG, voire 80% ou plus.

La raison est scientifique. La VG est une substance plus visqueuse et épaisse que le PG. Surtout, elle possède un fort pouvoir hygroscopique : elle attire et retient les molécules d’eau présentes dans l’air ambiant. Lorsqu’elle est chauffée par la résistance, elle ne se contente pas de se vaporiser elle-même ; elle vaporise également cette humidité captée. Le résultat est une vapeur beaucoup plus abondante, blanche et dense. Le PG, moins visqueux, produit une vapeur plus fine et discrète. Pensez à la différence entre la fumée d’une cigarette (fine et volatile) et la vapeur d’un sauna (épaisse et lourde). La VG vous rapproche de la seconde option.

Cette viscosité élevée a aussi une implication matérielle. Les atomiseurs DL sont conçus avec de larges arrivées de liquide (les « juice channels ») pour permettre à ce e-liquide épais de bien imbiber le coton en permanence. Utiliser un liquide à fort taux de VG dans un clearomiseur MTL aux entrées minuscules mènerait inévitablement à des « dry hits » (goût de brûlé), car le coton s’assécherait trop vite.

Molécules de glycérine végétale formant de la vapeur dense dans un atomiseur

Comme le montre cette visualisation, la nature même de la glycérine végétale est de créer une vapeur opulente. Choisir un liquide « High VG » n’est donc pas une simple préférence, c’est une condition sine qua non pour alimenter correctement votre matériel sub-ohm et atteindre vos objectifs de production de vapeur.

3mg mais 15ml/jour : comment le DL impacte votre budget liquide ?

Passer à la vape aérienne a une conséquence directe et souvent sous-estimée : votre consommation de e-liquide va exploser. Un vapoteur MTL consomme en moyenne 2 à 4 ml par jour. En DL, il n’est pas rare d’atteindre 10, 15, voire 20 ml quotidiens. Cette multiplication par 5 ou plus a un impact mécanique sur votre portefeuille, particulièrement sensible au Canada en raison de la fiscalité sur les produits de vapotage.

En effet, depuis le 1er juillet 2024, une taxe d’accise fédérale s’applique sur tous les e-liquides. Le calcul est simple : 1 $ par 2 ml pour les 10 premiers ml, puis 1 $ par 10 ml supplémentaires. Cela signifie qu’il y a 7 $ de taxe supplémentaire pour un flacon de 30 ml. Si vous consommez un flacon de 30ml tous les deux jours, cela représente plus de 100 $ de taxes par mois, avant même de compter le prix du liquide lui-même. Une consommation de 15 ml/jour équivaut à environ 450 ml par mois. Sur cette base, un vapoteur MTL qui dépensait 40-50 $ par mois peut facilement voir son budget grimper à 200-250 $ en DL.

Cette nouvelle réalité économique rend la planification essentielle. Il ne s’agit plus seulement de choisir une saveur, mais d’adopter des stratégies pour maîtriser ses coûts sans sacrifier la qualité de son expérience. Heureusement, des solutions existent pour les vapoteurs canadiens souhaitant profiter des gros nuages sans se ruiner.

Plan d’action pour optimiser votre budget vape DL au Canada

  1. Passer au DIY (Do It Yourself) : En achetant séparément la base neutre (VG/PG), les boosters de nicotine et les arômes, vous pouvez diviser le coût de vos e-liquides par trois ou quatre.
  2. Acheter en grand format : Privilégiez les fioles de 60ml ou 120ml (« shortfills ») plutôt que les formats de 10ml. Le prix au millilitre est souvent plus avantageux.
  3. Guetter les promotions : Profitez des soldes et des programmes de fidélité proposés par les boutiques de vape canadiennes, en ligne ou physiques.
  4. Investir dans le reconstructible : Un atomiseur reconstructible (RTA, RDA) vous permet de fabriquer vos propres résistances pour quelques centimes, au lieu d’acheter des résistances pré-faites qui peuvent coûter de 3 à 5 $ l’unité.
  5. Optimiser les commandes : Commander en plus grande quantité permet de diluer l’impact des frais de port et de la structure de la taxe d’accise par millilitre.

Quand ne jamais faire de gros nuages pour ne pas nuire à l’image de la vape ?

Maîtriser la technique du « cloud chasing » s’accompagne d’une responsabilité : la conscience situationnelle. Produire de gros nuages de vapeur peut être perçu comme intrusif, voire provocateur, par les non-vapoteurs. Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, et l’avenir de la vape dépend en partie de l’image que ses utilisateurs renvoient. La règle d’or est simple : le respect et la discrétion priment toujours sur la performance.

Au-delà du savoir-vivre, il y a la loi. Au Canada, les réglementations sont claires et varient légèrement d’une province à l’autre, mais le principe de base est le même : là où il est interdit de fumer, il est interdit de vapoter. Cela inclut les lieux de travail, les transports en commun, les restaurants, les bars, les terrasses, et les zones à proximité des entrées de bâtiments publics ou des écoles. Au Québec, par exemple, la Loi concernant la lutte contre le tabagisme est très stricte et prévoit une amende de 250 $ à 1 500 $ pour toute infraction. Le Gouvernement du Québec le réaffirme sans ambiguïté : « Il est interdit de faire usage de produits de vapotage dans les lieux où il est interdit de fumer, tel que dans un endroit ouvert au public ».

Le bon sens doit donc guider votre pratique. Évitez de faire de gros nuages dans les files d’attente, sur les trottoirs bondés, ou à proximité de groupes de personnes, même en extérieur. Un nuage de vapeur, même parfumé, peut être gênant pour les personnes asthmatiques ou sensibles aux odeurs. Si vous êtes en voiture, ne vapotez jamais en présence de mineurs, c’est illégal dans de nombreuses provinces. En somme, réservez les grosses sessions de « cloud chasing » à des lieux appropriés : chez vous, dans des vape shops qui le permettent, ou dans des espaces extérieurs isolés où vous ne dérangez personne.

Quand monter les watts pour suivre l’apport d’air supplémentaire ?

Vous avez la technique, le bon liquide et le matériel adéquat. Il reste à régler le cœur du réacteur : la puissance (watts). En vape DL, la puissance et le flux d’air (airflow) sont intimement liés. Monter l’un sans l’autre mène à une expérience déséquilibrée. La règle fondamentale à comprendre est que plus vous ouvrez l’airflow, plus vous devez augmenter la puissance pour maintenir une vaporisation efficace et savoureuse.

Pensez à un barbecue : si vous ouvrez grand les arrivées d’air, vous avez besoin de plus de charbon pour maintenir une bonne température. C’est pareil pour votre résistance. Un flux d’air massif refroidit la résistance en permanence. Si votre puissance est trop basse pour l’air qui arrive, la vaporisation sera anémique : peu de vapeur, et surtout, un goût « délavé », car les arômes n’auront pas assez chauffé. À l’inverse, si votre puissance est trop élevée pour un airflow restreint, vous risquez le « dry hit » et une vapeur trop chaude et agressive. L’objectif est de trouver le point d’équilibre air/puissance où la vapeur est à la fois dense, abondante et riche en saveurs.

En tant qu’instructeur, voici une feuille de route pour trouver votre réglage idéal :

  • Airflow à 25% : Commencez autour de 30-40W. C’est un réglage de DL restreint, idéal pour la transition.
  • Airflow à 50% : Montez la puissance entre 40-60W. Vous devriez sentir un bon équilibre entre saveur et production de vapeur.
  • Airflow à 75% : Visez la plage 60-80W. Ici, la production de vapeur devient la priorité.
  • Airflow à 100% : Pour le « full cloud chasing », une puissance de 80W et plus est souvent nécessaire.

N’oubliez jamais la sécurité, surtout à haute puissance. Utilisez exclusivement des accus de marques réputées et fiables, comme Molicel ou Sony, très populaires au Canada pour leur performance. Inspectez toujours l’enveloppe plastique (« wrap ») de vos accus. Le moindre accroc doit entraîner un remplacement immédiat du wrap pour éviter tout risque de court-circuit.

À retenir

  • La transition vers la vape DL est avant tout une question de technique respiratoire et de compréhension des interactions entre matériel, liquide et réglages.
  • La sécurité est primordiale : diviser son taux de nicotine est non-négociable et l’utilisation d’accus adaptés est indispensable à haute puissance.
  • La vape DL a un coût économique (consommation, taxes canadiennes) et social (étiquette) qui doit être anticipé et géré avec responsabilité.

Pourquoi la VG capte-t-elle l’humidité de l’air pour créer des nuages denses ?

Nous avons établi que la Glycérine Végétale (VG) est le moteur des gros nuages, mais plongeons plus profondément dans cette fascinante propriété. Le secret de la VG, son « superpouvoir », est son caractère hygroscopique. Ce terme scientifique signifie simplement qu’elle a une affinité naturelle pour l’eau et qu’elle peut absorber l’humidité de l’environnement qui l’entoure. C’est cette capacité qui transforme une simple vaporisation en un phénomène météorologique miniature.

Lorsque vous inhalez, l’air qui se mélange à votre e-liquide sur la résistance contient un certain pourcentage d’humidité. La VG capte ces molécules d’eau. Quand le tout est chauffé à plus de 200°C, la VG se transforme en aérosol, emportant avec elle ces particules d’eau. C’est ce mélange qui forme la vapeur que vous voyez. Plus il y a de VG, plus d’humidité est captée, et plus la vapeur est dense et opaque. Ce phénomène est particulièrement visible au Canada en hiver : la vapeur semble encore plus épaisse dans l’air froid, car le différentiel de température et d’humidité provoque une condensation instantanée, rendant le nuage encore plus spectaculaire.

Vapeur dense se formant dans l'air froid hivernal canadien

Il est toutefois important d’apporter une nuance de sécurité. Chauffer les composants d’un e-liquide à très haute température n’est pas anodin. Comme le souligne Santé Canada, la VG et le PG se décomposent à haute température pour former des composés carbonylés, dont certains sont potentiellement nocifs. C’est pourquoi il est crucial de toujours respecter les plages de puissance recommandées pour vos résistances et d’éviter les « dry hits », qui sont le signe d’une surchauffe anormale.

Comment le flux d’air massif modifie-t-il le goût de vos liquides fruités ?

Le dernier aspect à maîtriser, et non des moindres, est l’impact de la vape DL sur les saveurs. L’un des plus grands mythes est que « plus de vapeur = plus de goût ». C’est faux. En réalité, le volume d’air massif qui caractérise l’inhalation directe a tendance à diluer les arômes. Beaucoup de vapoteurs sont déçus de constater que leur liquide fruité préféré, si riche en MTL, devient fade et insipide en DL.

Les arômes complexes, avec des notes subtiles de tête, de cœur et de fond (comme un bon parfum ou un grand vin), sont les premiers à souffrir. Le torrent d’air emporte les nuances les plus délicates, ne laissant qu’une saveur de fond simplifiée. Pour la vape DL, il est donc préférable de choisir des saveurs plus directes, franches et puissantes. Les fruités-frais (avec menthol ou koolada) fonctionnent particulièrement bien, car la sensation de fraîcheur est accentuée par le grand volume d’air, compensant la perte de nuances fruitées.

Cette problématique est particulièrement pertinente pour les vapoteurs du Québec. Depuis octobre 2023, la province a restreint les saveurs autorisées aux seuls arômes de tabac. Cette mesure force les amateurs de DL québécois à composer avec une palette très limitée. Le flux d’air important vient encore diluer ces saveurs déjà peu exubérantes, rendant l’expérience parfois monotone. Certains se tournent vers des solutions comme les e-liquides aux sels de nicotine (même à bas taux) pour un rendu de saveur plus intense, ou explorent les rares subtilités des différents « classic » blonds, corsés ou gourmands.

Maîtriser la saveur en DL, c’est donc accepter de changer de paradigme : on ne recherche plus la complexité, mais l’impact. Il faut choisir des liquides conçus pour cette pratique, souvent surdosés en arômes, et accepter qu’un liquide excellent en MTL ne le sera pas forcément en DL, et vice-versa. C’est l’ultime réglage de votre système de vape : adapter non seulement votre matériel, mais aussi votre palais.

Maintenant que vous possédez la feuille de route technique, la conscience économique et la responsabilité sociale, l’étape suivante est de mettre ces connaissances en action. Commencez votre entraînement, ajustez vos paramètres et découvrez un tout nouveau monde de sensations dans la vape.

Questions fréquentes sur la vape DL au Canada

Peut-on vapoter dans les restaurants et bars au Canada ?

Non, le vapotage est interdit dans tous les restaurants, bars et leurs terrasses selon les réglementations provinciales.

Est-il légal de vapoter près des écoles ?

Non, il est interdit de vapoter sur les terrains des établissements scolaires et dans un rayon de 9 mètres des entrées.

Peut-on faire des nuages dans une voiture avec des mineurs ?

Non, vapoter dans un véhicule en présence de mineurs est illégal dans plusieurs provinces canadiennes.

Rédigé par Sébastien Cloutier, Ingénieur en électromécanique et expert en sécurité des accumulateurs Li-Ion. 12 ans d'expérience dans la conception et le test de dispositifs électroniques portatifs.